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Nestenn sur l'OBS : L'immobilier face à la crise

Nestenn sur l'OBS : L'immobilier face à la crise

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Sous la houlette d’Yves Le Grix, rédacteur en chef de l’OBS immobilier, une équipe de journalistes experts en la matière s’est consacrée à plusieurs interviews de profesionnels à propos de la crise de l'immobilier, dont nos franchisés Nestenn de Bordeaux Bastide (33), Lomme (59), Lyon 4ème, Lyon 5ème, Saint Brieuc (22), Toulon (83) et Tours Centre (37).
Pour la région parisienne, les agences Nestenn de Provins et de Massy ont été largement sollicitées.

 

Extraits :
Bordeaux (Gironde) : Une attractivité confirmée.

La journaliste Valérie Ferrer explique que le marché bordelais, ralenti par le confinement, a retrouvé tout son dynamisme. Mais certains quartiers en profitent plus que d’autres.
Olivier Zenouda, responsable de l’Agence Nestenn Bordeaux Bastide, précise : « En tout cas, je n’ai jamais autant entendu mes clients me dire qu’ils avaient besoin d’air ».
Quant aux communes de Floirac et Bègles, Olivier Zenouda souligne : « Le nouveau pont Simone-Veil va permettre de les relier et de mettre en valeur d’un côté Floirac et sa salle de spectacle l’Arkéa Aréna, de l’autre Bègles ».

 

Lomme (Région Hauts-de-France) : Petits jardins

Aurore Merchin, journaliste spécialiste du marché lillois fait un tour d’horizon des quartiers et sa périphérie. Elle explique qu’avec l’explosion de la demande post-confinement, le marché se tend encore et les prix continuent leur ascension. Le besoin d’un jardin stimule aussi les communes des alentours. Concernant Lomme, le besoin d’extérieur après le confinement, booste aussi la demande dans cette commune bien desservie du sud-ouest de Lille.
« … depuis mai, le nombre de compromis a doublé et la clientèle change avec l’arrivée des cadres d’EuraTechnologies » indique Aline Grether, l’une des responsables de l’agence Nestenn de Lomme.

 

Lyon : Nouvelles aspirations

La journaliste Elisabeth Lelogeais nous informe que la capitale régionale séduit toujours les acheteurs, mais la crise sanitaire accentue la demande d’espaces extérieurs dans toute la métropole. La hausse des prix se poursuit.

Petit tour d’horizon de Lyon 4ème arrondissement.
Dans les quartiers de la Croix-Rousse et Les Pentes : les grandes surfaces lassent. Globalement les grands appartements sans extérieur n’ont plus la cote. La crise sanitaire a renforcé la demande de terrasses ou de balcons, pénalisant les biens de 100m² qui n’en disposent pas. Cette observation est également relevée par l’un des responsables de l’agence Nestenn de Lyon 4, Anthony Debono : « Au-delà de 600.000€ et sans extérieur, la demande se raréfie ».

Quant à Lyon 5ème arrondissement, Philippe Guilloteau, responsable de l’agence Nestenn de Lyon 5, a identifié que « … dans le 5ème, l’arrondissement le moins dense de Lyon, les familles viennent rechercher le calme, les très bonnes écoles publiques et privées, la vie associative et la vie de quartier ».

 

Les côtes d’Armor, retour à la sérénité

L’activité est repartie à un bon rythme, explique la journaliste Françoise Surcouf, même si ce n’est pas le grand rush. Il suffit de s’éloigner du littoral pour payer moins cher, et ils sont nombreux à tenter le pari.

Ainsi, comme le relève Jean-Luc Jégard, multifranchisé du groupe d’agences immobilières Nestenn, dont l’agence de Saint-Brieuc « une maison contemporaine de 137m² à Sables-d’Or-les-Pins, par exemple, avec 900m² de terrain, se vend 300.000€ ; un bien similaire, un peu à l’écart du littoral mais avec l’avantage d’être de plain-pied se négocie à 190.000€ ».

En ville, dans l’hypercentre de Saint-Brieuc par exemple, une maison en pierre de 160 m2, avec un garage et un jardin, peut atteindre 260.000 € ; une autre, plus petite (110 m2), à réhabiliter, coûte 130.000 €. Mais souvent, comme le souligne Jean-Luc Jégard, « la première couronne s’avère plus chère que le centre-ville. Une maison de 133 m2 avec jardin et sans travaux à Trégueux atteint les 243.000 € ».

 

Toulon (Var) : un nouvel élan

La journaliste Elisabeth Lelogeais constate que les transformations urbaines portent leurs fruits à Toulon, si bien que la cité portuaire attire tous types d’acquéreurs, y compris les investisseurs.

Olivier Bouillet, gérant de 4 agences Nestenn dans le Var – Toulon Centre – Toulon Mourillon – Six-fours-les-plages/Sanary-sur-Mer et Bandol explique que les investisseurs ne sont pas en reste. « Ville étudiante et militaire, Toulon suscite leur appétit. Ils profitent de prix attractifs dans le centre et de loyers générant un rendement brut de 6 à 7% ».

Tours : cote en hausse

Depuis quelques années, Tours a vu sa cote grimper depuis les aménagements urbains, l’arrivée du tram et celle du TGV, qui la place à moins de 1h30 de Paris, précise l’OBS.

Les mois qui ont suivi le confinement n’ont fait que confirmer cette tendance. « La demande des Parisiens a augmenté considérablement depuis mai. S’ils ont toujours été présents, ils cherchaient jusque-là à faire de l’investissement. Aujourd’hui, ils souhaitent une résidence principale. Soit tout en continuant de travailler à Paris, soit en faisant du télétravail », explique Camille Moreau, directrice de l’agence Nestenn Tours Centre.

Région Parisienne

 

Provins : retour à la raison !
Provins, située à 77kms au sud-est de Paris a connu le rush post-confinement, il s’est calmé et le marché a repris son rythme normal. Le mètre carré s’est stabilisé entre 2.000 et 2.200 €/m2. « Les acheteurs de Paris, de Seine-Saint-Denis ou du Val-de-Marne viennent beaucoup pour des résidences secondaires », constate Hugues Thierry, de l’agence Nestenn Provins. Les maisons anciennes de 90 m2 avec 300 m2 de terrain se négocient autour de 250.000 €. Au cœur des villages situés dans un rayon de 10 kms, elles dépassent rarement 200.000 €. A Soisy-Bouy, par exemple, une maison en pierre des années 1900 de 180m² sur 11.000 m2 de terrain est partie pour 190000 €.

Massy : les maisons manquent
Le prix moyen à Massy dans l’Essonne se situe à 3.800 €/ m2, même si les écarts sont importants entre les différents quartiers. La partie sud à proximité de Palaiseau est plus chère que le reste du territoire. Les constructions neuves du quartier Atlantis et la présence de l’Opéra y font monter les prix. En revanche, le nord de la ville, plus éloigné des transports, est moins onéreux, en moyenne à 2.600 €/m2. « Il y a peu de maisons à vendre et, lorsqu’il y en a, il faut compter autour de 450.000 € », témoigne Anouk Charreire, directrice de l’agence Nestenn à Massy. Pour un studio dans l’ancien proche de Palaiseau il faut compter 79.000 €, et 305.000 € pour un logement neuf dans le quartier Atlantis.


Le groupe d’agences immobilières Nestenn, remercie vivement l’équipe de l’OBS et Yves Le Grix pour leurs sollicitations et pour cette analyse remarquable du marché immobilier français.

Rédaction : M.N

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